Le Paris Saint-Germain a écrit une page historique ce samedi 31 mai 2025 en s’imposant 5-0 face à l’Inter Milan en finale de la Ligue des champions, dans une démonstration de force jamais vue dans la compétition. Après des années d’attente et plusieurs échecs en finale, le club parisien décroche enfin la coupe aux grandes oreilles, vingt-neuf ans après son dernier titre continental.
Dans l’enceinte mythique de l’Allianz Arena à Munich, le PSG a rapidement pris le contrôle du match, écrasant une équipe italienne impuissante. Cette victoire massive symbolise la consécration d’une génération de jeunes joueurs, menée par un entraîneur, Luis Enrique, qui peut savourer une revanche personnelle éclatante.
Vengeance personnelle pour le coach parisien
Luis Enrique, à la tête du PSG depuis plusieurs saisons, a su bâtir un groupe solide et ambitieux, composé en majorité de jeunes talents. La victoire écrasante face à l’Inter Milan représente pour lui une véritable revanche. Le coach espagnol, reconnu pour son intelligence tactique et sa capacité à faire évoluer ses équipes, a vu son travail récompensé au plus haut niveau.Ce triomphe n’est pas seulement une victoire collective, mais aussi un succès personnel pour Luis Enrique, qui avait échoué par le passé à décrocher ce titre avec d’autres clubs. Sa maîtrise tactique et sa gestion parfaite du match ont permis à Paris de dominer largement un adversaire pourtant expérimenté.
Doué le prodige et Hakimi ont éclaboussé la finale de leur talent !
Parmi les héros de la soirée, Désiré Doué et Achraf Hakimi ont brillé de mille feux. Doué, auteur d’un doublé et d’une passe décisive, a confirmé son statut de prodige du football français. À seulement 19 ans, il a dynamité la défense milanaise, offrant à ses supporters un spectacle inoubliable.
Hakimi, quant à lui, a ouvert le score et multiplié les courses et les offensives, incarnant parfaitement la combativité et la technique parisienne. Ces performances individuelles, alliées à un collectif performant, ont permis au PSG d’imposer un rythme infernal et de mettre fin à toutes les illusions italiennes dès la première mi-temps.
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