Le secteur de la santé nigérian est fortement perturbé depuis ce mercredi, alors que l’Association nationale des infirmières et sages-femmes du Nigeria (NANNM) a entamé une grève d’avertissement de sept jours à l’échelle nationale. Le mouvement, qui concerne environ 250 000 professionnels de santé dans les établissements publics, fait suite à l’expiration d’un ultimatum de 15 jours lancé au gouvernement fédéral le 14 juillet dernier.
À ce jour, aucun service minimum n’est assuré, accentuant la pression sur les hôpitaux publics déjà fragilisés.Parmi les principales revendications des grévistes figurent :La hausse des indemnités de service pour l’ensemble des infirmières et sages-femmes ;
La création d’un département des soins infirmiers au sein du ministère fédéral de la Santé ;
L’octroi d’une allocation spéciale pour les infirmiers spécialisés ;
L’amélioration générale des conditions de travail, jugées précaires et peu attractives.
Selon les responsables syndicaux, cette mobilisation vise à attirer l’attention des autorités sur la dégradation du système de santé et la situation critique du personnel infirmier. « Nos membres sont épuisés, mal rémunérés et souvent ignorés dans les prises de décision sanitaires », a déclaré un porte-parole de la NANNM.Alors que le Nigeria fait face à de nombreux défis en matière de santé publique, cette grève pourrait aggraver l’accès aux soins pour des millions de citoyens, notamment dans les zones rurales et les hôpitaux de grande affluence.
Selon les responsables syndicaux, cette mobilisation vise à attirer l’attention des autorités sur la dégradation du système de santé et la situation critique du personnel infirmier. « Nos membres sont épuisés, mal rémunérés et souvent ignorés dans les prises de décision sanitaires », a déclaré un porte-parole de la NANNM. Alors que le Nigeria fait face à de nombreux défis en matière de santé publique, cette grève pourrait aggraver l’accès aux soins pour des millions de citoyens, notamment dans les zones rurales et les hôpitaux de grande affluence. Les syndicats préviennent cependant que si aucune mesure concrète n’est prise d’ici la fin de la grève d’avertissement, un mouvement illimité pourrait être lancé dans les semaines à venir.
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