De nouvelles images ont relancé les spéculations sur la santé de Donald Trump, 79 ans. Lors de sa rencontre avec le président sud-coréen le lundi 25 août, le président américain est apparu avec la main visiblement bleutée, un détail qui n’a pas échappé aux caméras. Cet épisode vient s’ajouter à d’autres signaux récents chevilles gonflées, fond de teint apparent qui alimentent les interrogations.
En réponse aux rumeurs, la Maison Blanche rappelle que le président souffre d’insuffisance veineuse chronique, un diagnostic posé officiellement le 17 juillet. Le médecin du président avait alors souligné qu’il restait « en excellente santé ».
D’ailleurs, Ce n’est pas la première fois que la communication autour de la santé de Trump est jugée opaque ou orientée.En 2015, son médecin personnel avait déclaré que Trump serait « l’homme en meilleure santé jamais élu président » une déclaration qu’il a par la suite reconnu avoir dictée lui-même à son médecin. En 2018, malgré un taux élevé de cholestérol LDL, la Maison Blanche parlait encore de « santé excellente ».
Aux États-Unis, les présidents ne sont pas légalement tenus de publier leur dossier médical, mais la tradition veut qu’ils communiquent régulièrement des bilans pour rassurer la population. Chez Trump, cette transparence a toujours été partielle. Et en pleine campagne électorale, chaque apparition publique devient un test de crédibilité physique.
Les images virales de sa main bleue, survenues en marge d’un sommet diplomatique, replacent donc sa santé au cœur du débat politique. Faut-il y voir une alerte sérieuse, ou un simple symptôme bénin ?
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