Le procès des « papys braqueurs », impliqués dans le braquage spectaculaire de Kim Kardashian à Paris en 2016, se poursuit cette semaine. L’affaire, qui a choqué la France et l’international, a vu la star américaine témoigner en larmes devant la cour d’assises de Paris.
Ce braquage, survenu pendant la Fashion Week, a vu les malfaiteurs dérober un butin estimé à 9 millions d’euros, principalement constitué de bijoux de grande valeur, dont une bague de fiançailles à 3,5 millions d’euros. La star de téléréalité, qui était alors seule dans sa chambre d’hôtel, a décrit un scénario d’horreur, où elle se sentait en danger de mort.Le principal accusé, Aomar Aït Khedache, 69 ans, est l’un des 10 accusés jugés dans cette affaire.
Il a écrit une lettre de remords à Kim Kardashian, qu’elle a lue en public, avant de lui accorder son pardon. Toutefois, la vedette a souligné que, bien que le pardon ait été donné, cela ne suffisait pas à effacer les séquelles du traumatisme vécu cette nuit-là. Les malfaiteurs, âgés pour la plupart, ont pénétré l’hôtel en se faisant passer pour des policiers. Ils ont ligoté Kim Kardashian et volé des objets d’une grande valeur, avant de prendre la fuite.
Le procès, qui a commencé en avril, devrait se poursuivre jusqu’au 23 mai, avec des témoignages et des plaidoiries qui pourraient éclairer davantage les circonstances de ce vol spectaculaire et la psychologie des accusés.Ce braquage n’a pas seulement été un vol de bijoux, mais aussi un choc profond pour Kim Kardashian, dont la vie publique a été bouleversée après l’événement.
Elle a notamment renforcé sa sécurité et modifié son rapport aux réseaux sociaux. Depuis cet incident, la star a pris des mesures strictes concernant sa sécurité personnelle, n’hésitant plus à s’entourer de plusieurs gardes du corps en permanence.
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